On circule, on circule. Et les chauffeurs écoutent la radio. Et on réalise rapidement que la liberté de presse est beaucoup plus grande ici que chez les voisins du Nord.
Si une radio ou une télé nigérienne exprimait le quart de la moitié du commencement des critiques à l’égard du gouvernement que j’ai entendue ici, elle serait fermée pour trois mois en moins de 15 minutes.
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