30 septembre 2010

Paperasse

Dans la série "Domesticité", j'ai finalement fini par classer la paperasse qui s'accumulait dans diverses piles et boîtes et chemises sur mon bureau. Du coup, j'ai réalisé que mon bureau est vraiment grand et, par extension, que la quantité de papiers qui attendaient mon intervention était phénoménale.

Il a eu une pile "jeter", une pile "recycler", une "détruire" et une "classer". La seule qui reste, c'est celle que je dois détruire. Il y a des photocopieuses et des fax un peu partout, à quand les déchiqueteuses dans les pharmacies?

Quand à me tenir à jour, ça devrait aller, j'ai simplifié et clarifié mon classement, ce qui devrait rendre la chose beaucoup moins rébarbative. Je crois que je peux donc dire que j'ai réussi l'objectif 28 de ma liste de 55 choses en 505 jours.

26 septembre 2010

Encore deux semaines en une

Mes photos préférées de la semaine dernière.

Dernière journée chez C.:

Un autre détour par le quartier chinois:

Et cette semaine, une simple visite au parc avec la Mamoizelle:


25 septembre 2010

Rien à dire


Ça vous arrive d'avoir des période où vous avez l'impression de n'avoir rien à dire? Ni par écrit, ni en personne, encore moins en groupe? Les discussions les plus complètes que j'aie en ce moment sont avec la Mamoizelle - et je ne fais que répondre à ses questions. Ces jours-ci, j'ai l'impression que mes pieds ont plus de conversation que moi.

Je reviendrai avec des photos demain, mais ne vous attendez pas à de grands discours.

14 septembre 2010

Deux semaines de retard

Deux semaines de retard pour mes billets photos de la semaine.Voici donc les photos qui auraient dû paraître le 5 septembre. Le thème de la semaine était alors les différentes définitions que l'on donne à la lumière. J'en mettrais bien trois, mais je me limite à deux.



La semaine suivante n'avait pas de thème, mais j'ai bien aimé celles-là:


Allez-voir sur Flickr pour plus de détails du comment et du pourquoi de ces photos.

09 septembre 2010

"Arrête de courir, tu vas tomber"

Tous ces commentaires de prudence venant des étrangers: arrêter de courir, ne pas grimper, ne pas manger de "swing gum", ne pas grimper par la glissoire, ralentir avec la trottinette, etc.

Parfois, je ne regarde pas, ça va, ça part d'un bon sentiment.

Mais quand je suis là et que je la regarde, que je ne dis rien, dites-vous que c'est probablement parce que je considère qu'elle est parfaitement capable de faire ce qu'elle est en train de faire sans courir de risques excessifs.

Et puis si elle tombe? Ça change quoi? Un genou écorché, un bobo sur l'orgueil (souvent ce qui fait le plus mal quand on a 4 ans et demi) et surtout un véritable apprentissage. Le sous-texte de ces commentaires, c'est toujours de se méfier, d'avoir peur, de ne pas se faire confiance. Disons que ça ne fait pas partie des valeurs de base que je veux transmettre à mes filles.

Rester attentive, rester concentrée, bien évaluer la situation avant de prendre des risques, connaître les règles de sécurité et les limites. Mais une fois que ces limites sont connues, s'il-te-plaît ma chérie coco, teste tout ce que tu peux tester, pousse sur les limites pour voir si elles sont élastiques, cours, joue, explore, apprends. Vas-y, t'es capable toute seule!

03 septembre 2010

Les tâches ménagères

Dans mon projet 55/505 (on va l'appeler comme ça), il y avait la liste des tâches ménagères, dans le détail. Le but, c'était de mieux distribuer les tâches dans la famille et d'y inclure les tâches de la Mamoizelle.

Un exemple?

Poubelles

Lundi :
- vider les poubelles de la maison (chambres, salle de bain, bureau) si elles sont pleines
- sortir les poubelles de couches et de la cuisine
- vérifier les aliments passés date dans le frigo
- sortir le gros sac avant 11h
Jeudi : même chose, plus sortir le recyclage avant 8h.

C'est quand même assez détaillé. Les poubelles c'en est un facile. Tout ce qui y est écrit se fait - en général. La tâche des poubelles de la maison - chambres, salle de bain, bureau - c'est celle de la Mamoizelle. Les autres sont réparties de façon aléatoire, avec un prédominance pour le recyclage à mon Chéri et le reste à moi.

Certains éléments sont plus problématiques - il y a un décalage entre ce qui devrait être fait et ce qui se passe effectivement. Et contrairement à ce qu'on pourrait penser, non, ce n'est pas une liste uniquement pour l'homme de la maison. C'est pour tout le monde. Il y a plein de choses dans cette liste que je devrais faire, mais que je ne fais pas. Un autre exemple? Je dois admettre que lorsque je me décide à passer l'aspirateur, c'est souvent mon Chéri qui finit par le ranger. Moi je le laisse là en me disant que je n'ai pas vraiment fini, mais lui sait très bien que ça va prendre quelques jours avant que je m'y remettre et que je n'ai qu'à le ranger entre les deux. Ça prend de la place dans un corridor mettons.

Et puis, il y a des choses qui n'y sont pas. Mettre la table (souvent par la Mamoizelle, qui adore), mettre son linge au lavage, ramasser les choses qui traînent, etc. Des choses qui n'entraient pas dans mes catégories et qui sont trop évidentes ou constantes pour être dans une liste. Mais je peux changer d'idée. Mon Chéri peut aussi décider de refaire une partie de la liste. Je n'ai pas le monopole des idées, ni celui de la façon de faire. J'espère juste que ça va nous aider à avoir une maison qui nous plaît.


Ah, pas de photo pour cet élément de la liste 55/505, c'est juste une liste sur un bout de papier après tout.

02 septembre 2010

Le pain blanc

Savez les annonces avec les enfants qui n'aiment pas les pains bruns? Je ne les comprends pas. Tous les enfants de la planète aiment le pain. Bon, je ne leur ai pas demandé de façon individuelle, mais disons que je n'ai jamais rencontré d'enfant qui lève le nez sur un morceau de pain.

Si on ne leur donne jamais de pain blanc, si on ne les habitue pas à cet aliment, pourquoi ils en voudraient? C'est tellement insipide du pain blanc tranché. C'est un peu l'antithèse du pain en fait. Le bon pain - c'est une définition personnelle - c'est un pain qui est à son meilleur grillé, avec juste du beurre. Ou avec du beurre et du miel. Le pain qu'on savoure autant sinon plus que ce qu'on met dessus.

Les seuls moments de ma vie où j'ai mangé avec bonheur du pain blanc tranché, c'est parce que j'avais vraiment très faim et qu'il était savamment écrasé dans le fond d'un sac à dos.

Bref, les annonces de pain blanc avec des bonnes affaires de cachées dedans, je trouve ça presque triste. Comme si on homogénéisait les saveurs pour les enfants avant même qu'ils n'aient eu la possibilité de les découvrir.


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Hum... il y a un pain raisins, noix et miel dans mon frigo qui m'appelle.