Oui, je me souviens du "to" que tu utilises souvent maintenant. Mais je me souviens aussi du "kai" qui marque en plus la suprise ou l'amusement, si je ne me trompe pas.
J'espère que tu résistes aux chaleurs actuelles et que ta choupinette supporte encore sa couche culotte ! Ici dans le sud de la france, temps maussade presque d'automne. Tes billets me font toujours autant plaisir. To kala tonton !
La suisesse: C'est parce que c'est un mot haoussa, et non plus du français comme les autres expressions que j'ai présentées.
Kaï, c'est du djerma. C'est très largement utilisé. Surprise, agréable ou désagréable, amusement, découragement et aussi 'arrête', selon le contexte et le ton utilisé.
Quant à la Chipounette, elle ne porte la couche que pour faire dodo maintenant. Elle approche rapidement de la vraie propreté. Mais apparemment, c'est plus facile de penser au pot quand on a les fesses à l'air que quand on porte nos petits habits, si jolis soient-ils.
Oui, je me souviens du "to" que tu utilises souvent maintenant. Mais je me souviens aussi du "kai" qui marque en plus la suprise ou l'amusement, si je ne me trompe pas.
RépondreEffacerTiens, celui là je l'ai jamais entendu en Cote d'Ivoire contrairement aux 2 précédents.
RépondreEffacerBon Week-end.
La Suissesse
ça change du ok !
RépondreEffacerJ'espère que tu résistes aux chaleurs actuelles et que ta choupinette supporte encore sa couche culotte !
RépondreEffacerIci dans le sud de la france, temps maussade presque d'automne.
Tes billets me font toujours autant plaisir.
To kala tonton !
La suisesse: C'est parce que c'est un mot haoussa, et non plus du français comme les autres expressions que j'ai présentées.
RépondreEffacerKaï, c'est du djerma. C'est très largement utilisé. Surprise, agréable ou désagréable, amusement, découragement et aussi 'arrête', selon le contexte et le ton utilisé.
Quant à la Chipounette, elle ne porte la couche que pour faire dodo maintenant. Elle approche rapidement de la vraie propreté. Mais apparemment, c'est plus facile de penser au pot quand on a les fesses à l'air que quand on porte nos petits habits, si jolis soient-ils.