20 septembre 2007

Elémentaire mon cher Watson

Sir Arthur Conan Doyle, dans le texte, avec la traduction sur la page d’à côté. Au départ, c’est une erreur. Je pensais avoir acheté un livre de la collection Bouquins tout ce qu’il y a de plus ordinaire, soit un recueil de tous les écrits d’un auteur particulier (le premier volume, bien sûr). Je n’avais jamais lu les aventures de Sherlock Holmes, alors pourquoi pas ? Bouquins, c’est généralement un excellent rapport poids/heures de lecture pour la voyageuse que je suis.

Mais sur la page couverture, il est écrit en tout petit : édition bilingue, nouvelle traduction. Je ne m’en suis aperçu qu’en ouvrant le livre hier. Pas ma tasse de thé, ça réduit de moitié le ratio sus mentionné et c’est très étrange de ne lire que d’un côté du livre (en anglais, donc à gauche). Mais finalement, ce n’est pas si mal, je jette régulièrement un oeil sur la traduction, juste pour voir. C’est parfois surprenant et ça donne une idée de la difficulté de traduire un tel texte. Et puis certaines tournures de phrases – trop anglaises, trop vieilles – me font parfois hésiter et c’est alors fort pratique d’avoir la ‘nouvelle traduction’ à portée de la main.

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