La météo me dit qu'il fait -11°C en ce moment à Montréal.
Dans leur tente chauffée, les maçons travaillent en t-shirt.
J'imagine que le mortier va prendre. Les monstrueuses bouteilles de gaz sur le trottoir, elles, givrent dans le bas - effet combiné de la dépressurisation et de la température extérieure.
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Celui qui travaille en face de la porte du salon chante comme un pied. Et ne connait pas les paroles.
mais il chante!
RépondreEffacerJoceline
ah j'oubliais je voulais vous invité à souper...sur semaine. Je n'ai pas fêté madmoiselle
RépondreEffacerJoceline
On voulait faire l'inverse! On s'appelle.
RépondreEffacerDaddy G. aussi est dû pour une invitation avec sa smalah, ça fait beaucoup trop longtemps qu'on ne s'est pas vu.
Sur les 2000 briques qui composent le mobilier intégré de ma maison, j'en ai posé une. UNE SEULE. Et, oh que non, je n'ai pas chanté, parce que c'était loin d'être facile. Me voilà donc pleine de compassion pour les massons qui travaillent chez vous, et surtout pour le long chemin de douleur et d'angoisse qu'ils ont du traverser avant d'en arriver à pouvoir (et vouloir) chanter en travaillant.
RépondreEffacerMais ne te méprends pas, je suis aussi pleine de compassion pour toi qui endure les travaux chez ton chez-toi de location... c'est toujours un peu plate.
Joceline: oui, et il m'a bien fait rire.
RépondreEffacerÉlise: Le problème, ce n'était pas les maçons, qui faisaient une job de pro. Le problème, c'est le timing. Et ça ne relève clairement pas d'eux.