Des fois, je voudrais avoir le don d’ubiquité. Surtout quand je suis assise dans une réunion obligatoire, mais complètement déstructurée, alors que le travail s’accumule (littéralement) sur mon bureau. Je pourrais laisser une version décérébrée de ma personne dans la réunion et aller faire des vrais choses ailleurs.
Comme de m’occuper des fiches d’enquêtes qui s’amoncèlent sur le bureau et dont je dois vérifier la qualité avant de les envoyer au Bénin.
Et par la fenêtre de la salle de réunion, je vois les enquêteurs passer avec leurs paquets. Misère.
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