La Mamoizelle avait son dernier cours de judo de la session ce soir. Elle en fait depuis septembre. Je ne pensais pas apprécier autant le judo - je n'en fais pas moi-même remarquez, c'est sûrement dommage. Un jour peut-être.
Je ne sais pas si tous les dojos sont comme ça, mais dans celui-ci la Mamoizelle a trouvé un milieu qui a réussi à lui inculquer une certaine discipline et à lui montrer le chemin d'une confiance en elle bâtie sur ses propres réussites. "Rozer" et Isabelle ont fait un excellent travail avec notre moulin à paroles. C'est dur d'expliquer en mots l'atmosphère d'un tel lieu et la relation de confiance entre la Mamoizelle et son professeur de judo ("Rozer" s'occupait plus des petits que sa fille Isabelle), mais malgré la discipline que ça demandait en y allant deux fois par semaine, pas une fois elle ne s'est sérieusement objectée à ses cours.
En changeant de quartier, on perd aussi cette ressource-là, mais on a demandé des références pour un dojo dans notre nouveau quartier. Parce que même si ce ne sera plus les mêmes, je suis sûre qu'ils nous donneront une bonne adresse. On a eu de la chance la première fois, on ne va quand même pas rejouer le tout aux dés.
Un salut bien bas à mon Chéri qui a fait le transport de la Mamoizelle de la garderie au judo une, puis deux, fois par semaine pendant 8 mois.
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