Les ruelles de Villeray sont géniales. Dans presque toutes les cours, il y a des jardins. Des tomates, des laitues, des fleurs, des haricots. Des bâtons de hockey qui servent de tuteurs, ou des manches à balais. C'est beau, ça sent bon, ça se mange.
Je me demande quel est le volume de la production maraîchère des arrière-cours de Montréal? Et quelles économies cela représente pour les ménages?
Est-ce que ton chéri a des projets de jardinage? Il réussissait bien à Niamey.
RépondreEffacerEt comment! Tomates, laitue et fines herbes. Mais dans des pots, parce que le terrain ne nous appartient pas. Il appelle ça son jardin suspendu.
RépondreEffacerAh! J'oubliais les poireaux et les épinards.
RépondreEffaceron peut dire les jardins suspendus de Babylone...c'est chouette.
RépondreEffacerMoi les tomates j'ai laissé tombé...les écureuils me les chippaient encore vertes en prenaient une bouchée et les laissaient là à pourir au soleil. J'ai pensé au patates il paraît que ça marche mais n'ai pas eu le temps. Parcontre j'ai des bettes à carde et de herbes...fines et moins fines
Joceline
Nos tomates sont des tomates cerises suspendues!
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