03 août 2007

Une chance pas possible

Le voyage a été aussi parfait que possible.

Entre Niamey et Casablanca: personne. Au mois d'août. Incroyable. Nous avons toutes les deux dormi, étalées de notre long sur une banquette (quoiqu'en équilibre précaire pour la plus grande de l'équipe).

Aéroport de Casablanca: 4 heures d'attente. Anoura décide qu'il est primordial pour elle de m'aider à transporter la valise à roulette. Elle se balade donc en tenant la dite valise par la poignée à chaque fois qu'on fait mine de se déplacer. Elle regarde partout, discute beaucoup et salue les foules en délire. Le petit parc lui permet de dépenser un surplus d'énergie. L'expresso est excellent.

Entre Casablanca et Montréal: l'avion est plein. La femme qui s'assoie à côté de moi, quoique d'abord fort sympathique, ne semble pas avoir particulièrement envie de passer 7h à côté d'un banc surpeuplé (Anoura et moi sur le même siège, c'est clairement de la surpopulation). Elle connaît très bien le chef de cabine et dès que tous les passagers sont assis, elle se fait transférer, probablement en classe affaire. Cela fait instantanément 3 heureuses. Nous avons eu notre espace, elle a eu le sien, je la remercie de tout coeur.

La suite est une autre histoire, je suis épuisée et il se fait tard. Bonne nuit.

1 commentaire:

  1. Anonyme5:41 a.m.

    Bon matin

    Je viens de lire ton commentaire. Tu voiss comme la vie peut être bonne. Allah est Grand! Comme dirait mon ami Yvon.
    Bon repos en attendant tes prochains commentaires.
    A Niamey, la pluie ne cesse de tomber. Je comprends pourquoi autant d'étrangers quittent en août.
    Au bureau toutefois on ne s'ennuie pas...
    Jn-Guy

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