Dans le train entre Montréal et Halifax, il y a quatre arrêts où les fumeurs peuvent descendre griller leurs clous de cercueil. Pour un gros fumeur, le trajet de 22 heures à ne rien faire doit être long comme un jour sans pain - déjà que ce n'est pas une nuit d’allégresse pour le voyageur lambda. Alors évidemment, certains sortent fumer à des arrêts qui ne sont pas prévus pour cela. En général, j'imagine que ça peut aller, mais c'est à leur risque et péril - le train n'attend pas.
Pour le fumeur qui courait derrière le train à la sortie de Miramichi la semaine dernière, je me demande si l'événement a été celui qui l'a finalement décidé à arrêter!
Ce que l'histoire ne dit pas, c'est s'il a réussi à rattraper le train. Ou s'il avait son portefeuille avec lui.
Parions qu'il s'est essoufflé très vite, qu'il avait son portefeuille dans sa poche et qu'il a pu trouver un bon samaritain pour le conduire à l'arrêt suivant...
RépondreEffacersonia
Mais est-ce qu'on peut rattraper une train? Ça va quand même plus vite que les voitures sur l'autoroute.
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