25 mars 2011

Here comes another one

Here comes another one
Here it comes again
Here comes another one
When will it ever end?


I know whatever it is
I've not seen one before
But here comes another one
And here comes a bunch of 'em
Here comes another one
Thank God I'm not having lunch with them


The Monthy Pythons. Je ne saurais dire mieux.

4 commentaires:

  1. Pour ceux et celles qui auraient du mal à comprendre ce message, il s'agit d'un commentaire politique.

    RépondreEffacer
  2. Dans beaucoup de pays, certains sont prêts à risquer leur sécurité, sans parler de leur vie, pour voter. La démocratie est seulement la moins pire de toutes les façons de choisir comment nous serons dirigés. Moins pire mais quand même garante de la liberté et très longue (des siècles plus que des décennies) et très difficile à mettre en oeuvre. Ça exige de la prudence et de la vigilance.
    C'est le "comment" qui importe: les règles, les institutions, la manière de congédier ceux qui sont au pouvoir.
    Voilà, c'était mon topo de vieille politologue et de vieille citoyenne d'un pays dont on oublie qu'il a été chanceux. Sortir de chez soi le matin sans craindre pour sa vie. Mais peut-être que je me répète.

    RépondreEffacer
  3. C'est un drôle de discours que tu me tiens-là, maman. Prêcher aux convertis, ce n'est jamais très utile. Je ne remets pas en doute le système démocratique, et j'irai bien sûr voter. Mais je ne vois pas en quoi cette élection est différente de la dernière, ou des précédentes. Si ce n'est que cette fois on risque de se retrouver avec un gouvernement conservateur majoritaire.

    L'alternative libérale est pitoyable, le bloc régional et le NPD malheureusement toujours pas en position de gagner. À quand des élections proportionnelles?

    RépondreEffacer
  4. Anonyme8:03 p.m.

    Ne devrait-on pas avoir un objectif?
    Mettre à la porte celui qui est le plus pire.
    Pour ça il faut faire fi de ses convictions mais ça vaut peut-être le coup.....
    Joceline

    RépondreEffacer