Il y avait des fraises bien sûr - oui oui, produites ici, jusqu'à la mi-octobre si les conditions le permettent. Mais aussi quelques cerises de terre dans leurs jolis paniers:
Et des courges à perte de vue:
Nous sommes ensuite allées voir une producteur qui nous a expliqué des centaines de choses: les régies de production, comment protéger les cultures du gel en créant un verglas artificiel, les aléas de la vie d'un producteur, les conclusions de la saison 2009, pour ne nommer que quelques sujets. Un grand merci à cet homme qui avait passé la nuit au Marché central et qui a tout de même pris le temps de répondre à nos questions.
Si le beau temps avait continué quelques semaines, les plants de fraises d'automne étaient prêts à produire encore bien des fruits:
P.s.: Je ne sais pas quel est le problème de Blogger depuis quelques semaines, mais les photos sortent avec une qualité désastreuse. Si vous voulez voir de meilleures versions, cliquez sur celles qui vous intéressent. Cela vous mènera soit à la version flickr, ou à une plus grande version si la photo n'a pas été publié sur flickr.
Je ne connaissais pas ce nom, cerise de terre, je ne connaissais que Physalis... On les appelle aussi "amour en cage" ;-)
RépondreEffacerC'est vraiment romantique comme nom ça! Ma grand-mère avait un nom avec lanterne, mais de quoi, je ne sais plus.
RépondreEffacerJe suis contente et fière de retrouver mon fréro, Michel Sauriol, sur votre blog!
RépondreEffacerMerci d'informer les gens sur les produits d'ici!
De rien, c'est un plaisir de travailler avec les producteurs d'ici.
RépondreEffacerHum... je ne mets jamais le nom des gens sur mon blog, parce que je ne demande pas toujours la permission pour parler d'eux. Si Michel veut que j'enlève son nom, qu'il me fasse signe, j'enlèverai les commentaires.