On vit finalement dans un petit périmètre, on a ses habitudes et les obligations quotidiennes ne nous amènent pas souvent en dehors des chemins usuels. Parfois, il y a deux bulles: celle de la maison, celle du travail. Reliées entre elles par un trajet, toujours le même. Un corridor de migration.
Ce n'est pas vraiment un problème; c'est normal, c'est fonctionnel.
Mais lorsqu'on essaie de faire 365 photos en 365 jours, on fait rapidement le tour de nos sphères de mouvement. Et l'inspiration vient à manquer.
J'attends trop souvent à la dernière minute pour faire ma photo du jour. Je me retrouve trop souvent à mon goût à tenter de voir une fois de plus l'intérieur de mon appartement de façon originale. À faire de la photo parce que j'ai dit que je le ferais, à avoir l'impression que mon quotidien tourne en rond parce que je n'arrive plus à trouver des images intéressantes autour de moi.
Hum... je viens d'avoir une idée pour la photo de ce soir.
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