Je ne suis pas très loquace sur La love affair, enfin pas autant que je ne le voudrais. Ce n’est pas tant l’inspiration qui manque, que les moments pour la mettre sur clavier. Entre paresse, oublis et débordements, je trouve rarement les 15 minutes qu’il me faudrait pour vous écrire des billets réguliers, sinon intéressants.
J’ai parfois des idées très bien, mais elles surgissent généralement à des moments incongrus : au moment de m’endormir (un classique), dans le trafic à la sortie de la mosquée lors de la prière du vendredi (mais comment j’ai pu passer là à ce moment précis), en allaitant (ça arrive moins souvent qu’avant, mais quand même), dans une réunion (oh concentration quand tu fais défaut). Bref, une fois rendue devant un ordinateur, j’ai complètement oublié le sujet de mon billet, et encore plus la tournure de celui-ci, qui est toujours meilleure quand on n’a rien pour écrire, c’est bien connu. Je devrais peut-être me trainer un cahier de notes, mais ça ne règlera pas nécessairement mon problème.
En attendant, je suis en train de finir la biographie de Bob Marley – on est en Afrique ou on ne l’est pas – et ça tombe bien, c’est l’anniversaire de son décès aujourd’hui. Ce soir, on va voir un spectacle au CCFN en cet honneur; c’est un ami, Aldo, qui tient la guitare.
Jah Love Jah Bless, comme le dit si bien George.
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