Comment dénicher la perle rare, comment trouver dans tout Niamey cette personne à qui l’ont confiera la prunelle de nos yeux, la chair de notre chair?
Pas si simple. Les conseils sont nombreux et les opinions divergent. L’option ‘nounou à la mode africaine’ ne m’a pas réussie. Une femme d’un certain âge qui garderait Anoura chez sa Mamie et qui ferait là-bas et à la maison de menus travaux (lessive et ménage) pour moins cher a été mise de côté. Anoura avait de la difficulté avec tout le mouvement qu’il y a chez Mamie et la nounou qui s’est présentée ne m’inspirait pas particulièrement confiance. La femme est d’ailleurs partie d’elle-même, l’incompatibilité devait être réciproque.
J’ai donc opté pour la nounou à l’occidentale (enfin, plus à l’occidentale, la demoiselle est tout de même Nigérienne). Une jeune fille (début vingtaine??) qui a une formation et des références et qui garde Anoura à la maison. Elle fait aussi quelques menus travaux (lessives d’Anoura, vaisselle et autres). Bon, la première impression est très bonne, elle est à l’essai bien sûr, mais j’ai confiance. Elle est calme, gentille et, le plus important, semble plaire à la choupinette, qui est quand même la principale intéressée dans toute cette histoire.
Si vous ne réentendez pas parler de Fati la Nounou, c’est ‘pas de nouvelles, bonnes nouvelles’…
Eh bien moi non plus j’ai pas été super emballé par la première « nounou », qui soit dit en passant, n’est pas la nounou africaine typique (y en a de plus patientes, heureusement pour les enfants africains), et je suis aussi beaucoup plus emballé par Fati la Nounou (africaine) qui a, à mon avis, en plus des qualités que Sara a décrites, beaucoup plus d’expérience des enfants de cet âge là et donc sait mieux quoi faire et comment réagir en fonction des situations… vive « Fati la Nounou »!
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