L'harmattan s'est levé dans toute sa splendeur. Il vente. Il fait frais. Je ne crois pas que le thermomètre dépasse les 25 degrés aujourd'hui.
Mais le vent transporte une poussière fine et insidieuse qui, non contente de se déposer sur nos meubles à la vitesse de l'éclair, s'infiltre aussi dans les systèmes respiratoires de chacun.
Je ne connais personne à Niamey en ce moment qui ne se promène pas avec un petit paquet de mouchoirs dans ses poches.
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