Parce que c'est un manque de civisme intolérable. Parce que ça envahit l'espace vital de tout un quartier. Parce que ça pue. Parce que ça pollue. Parce que ça agresse les sens, les voies respiratoires, les yeux.
Quand, en plus, le climat vous oblige à vivre les fenêtres ouvertes, sous les ventilateurs qui favorisent la circulation de la fumée, mais pas de la fraîcheur, étrangement. Quand vous êtes affligés d'une toux récalcitrante qui traîne même quand les microbes, eux, se sont tirés. Quand vous devez porter vos verres de contact par obligation. Quand le brûlage se fait dans les arrières cours qui donnent sur la vôtre, à l'heure exacte où vous aviez planifié vous coucher tôt (pour une fois).
Quand tout ça se produit pour la quatrième fois de la semaine, ça donne des envies de bombe H, peu importe le rayon d'action.
Quand tout ça se produit pour la quatrième fois de la semaine, ça donne des envies de bombe H, peu importe le rayon d'action.
Ah là là, la seule fois où j'ai fait une petite crise (parler fort dans la rue), c'est quand mon voisin a brûlé un pneu, juste devant chez moi, pour soi-disant, éloigner les serpents... et les enfants qui tournaient autour du "feu joyeux" sniffant allégrement l'odeur...
RépondreEffacerLe pneu, on ne me l'a encore pas fait. mais je sens que je réagirais aussi...
RépondreEffacerMais pour les feuilles, réagir serait vraiment de l'énergie perdue. Et reperdue. Et perdue encore. Parce que c'est quotidien, surtout avec l'arrivée de la saison fraîche et la fin des pluies.