26 novembre 2007

Dépendance

Je suis incapable de passer une journée efficace sans caféine.
J’aime trop le café pour boire du café soluble.
L’eau bouillie sur le bois donne un goût de fumée désagréable à ma poche de thé.

Heureusement, les chauffeurs sont souvent des touaregs, nomades jusque dans la modernité. Il y en a toujours un qui pose le thé du lever au coucher du soleil, et même au-delà. Il suffit de mentionner à partir de quel thé on est preneur et l’on se retrouve inondé d’une boisson chaude, forte, sucrée et délicieuse.

Personnellement, si je veux suivre le rythme sans trembler comme une feuille, si je veux éviter le mal de tête, mais dormir la nuit, je me contente des deuxièmes et troisièmes thés. Je laisse le premier aux véritables aguerris.

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