30 septembre 2011
Le Marathon de Montréal
La dernière fois que j'étais allée voir le marathon de Montréal, j'étais assise sur les épaules de mon père. Dimanche dernier, j'y suis allée avec mes filles et J., le voisin d'en haut qui a l'âge de la Mamoizelle. J'ai vraiment apprécié. Et comme le trajet entourait peu ou prou le quartier, ça n'a pas été très difficile de s'y rendre.
Surprise : c'est silencieux, un marathon. Quand on est les seuls spectateurs sur le coin de la rue, on entend seulement le petit claquement des chaussures sur la chaussée. On était au coin de Maisonneuve et de Parthenais, pas très loin de l'endroit où se rejoignaient le marathon complet et le demi-marathon. Même quand les coureurs du demi marathon ont envahi jusqu'aux trottoirs, les plus bruyants restaient les deux clowns à chapeau qui m'accompagnaient. La PtiteMiss, elle, les a regardé passer de ses grands yeux, intriguée.
28 septembre 2011
Affichage
Avant, tout le monde pouvait connaître l'état marital de chacun en lui regardant les mains. Il n'y avait qu'un code et il était clairement affiché. De nos jours, c'est plus risqué.
D'abord parce que les gens ne se marient pas nécessairement, mais ça ne les empêchent pas d'avoir une vie à deux, des enfants, des projets, alouette. Puis il y a celles (et probablement ceux aussi) qui portent un bague à l'annulaire gauche parce que cette bague qui leur plaisait ne s'ajustait qu'à ce doigt. Il y a les traditions où la bague se porte à droite, ou pas du tout. Il a les couples qui ne sont pas mariés mais qui se sont fait faire des bagues, juste comme ça, pas exactement des joncs, juste un peu différent. Puis des comme moi, dont le jonc est en argent.
Bref, dans les films, quand le monsieur enlève sa bague avant d'aborder un jolie demoiselle, ça fait parfois référence à une autre époque.
D'abord parce que les gens ne se marient pas nécessairement, mais ça ne les empêchent pas d'avoir une vie à deux, des enfants, des projets, alouette. Puis il y a celles (et probablement ceux aussi) qui portent un bague à l'annulaire gauche parce que cette bague qui leur plaisait ne s'ajustait qu'à ce doigt. Il y a les traditions où la bague se porte à droite, ou pas du tout. Il a les couples qui ne sont pas mariés mais qui se sont fait faire des bagues, juste comme ça, pas exactement des joncs, juste un peu différent. Puis des comme moi, dont le jonc est en argent.
Bref, dans les films, quand le monsieur enlève sa bague avant d'aborder un jolie demoiselle, ça fait parfois référence à une autre époque.
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les idées qui passaient par là
26 septembre 2011
Dans la rue
J'aime croiser une fille qui mange avec gourmandise. Qui savoure sa nourriture et marche dans une petite bulle de saveur. Qui se lèche les doigts à la fin pour faire durer le plaisir.
Un garçon aussi, mais même si je sais que les garçons aussi subissent le culte de la beauté et de la minceur, je me sens plus interpellée par la fille qui mange que par le garçon.
Peut-être parce que je suis une fille qui mange en marchant.
Un garçon aussi, mais même si je sais que les garçons aussi subissent le culte de la beauté et de la minceur, je me sens plus interpellée par la fille qui mange que par le garçon.
Peut-être parce que je suis une fille qui mange en marchant.
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les idées qui passaient par là
25 septembre 2011
23 septembre 2011
Les tribulations d'une consommateur ordinaire qui se prenait pour un écolo exemplaire
par Fred Pearce
Journaliste anglais, Fred Pearce s'est demandé un jour d'où venaient certains objets de son quotidien, de quelle façon ils avaient été fabriqués et de quelle façon ils allaient disparaître de sa maison. Ça passe de ses haricots kenyans, à son jonc de mariage, à la sortie de son bac de recyclage vers le vaste monde, ce qui advient des vêtements, des ordis et des vieux cellulaires que l'on donne et de la provenance de ces derniers.
J'ai relevé quelques erreurs ou des contradictions dans certains chiffres et ça a un peu gâté ma perception du livre (qu'en est-il des chiffres que je ne sais pas évaluer?), mais en général, ça se lit très bien et, si ça ne changera pas du tout au tout ma façon de vivre, ça permet de se poser - ou de se poser différemment - quelques questions sur la consommation actuelle.
____________
5/10
Journaliste anglais, Fred Pearce s'est demandé un jour d'où venaient certains objets de son quotidien, de quelle façon ils avaient été fabriqués et de quelle façon ils allaient disparaître de sa maison. Ça passe de ses haricots kenyans, à son jonc de mariage, à la sortie de son bac de recyclage vers le vaste monde, ce qui advient des vêtements, des ordis et des vieux cellulaires que l'on donne et de la provenance de ces derniers.
J'ai relevé quelques erreurs ou des contradictions dans certains chiffres et ça a un peu gâté ma perception du livre (qu'en est-il des chiffres que je ne sais pas évaluer?), mais en général, ça se lit très bien et, si ça ne changera pas du tout au tout ma façon de vivre, ça permet de se poser - ou de se poser différemment - quelques questions sur la consommation actuelle.
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5/10
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55 choses en 505 jours,
livres
19 septembre 2011
Cinéma Cinéma
Le thème était cinéma. Apparemment l'image qu'on s'en est fait est la même.
Je me disais que faire du repérage pour un tournage, ça doit être intéressant. Difficile, sûrement, mais les choses faciles ne sont jamais vraiment intéressantes.
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52 semaines à deux,
photo
11 septembre 2011
Nostalgie
La nostalgie est un sentiment agréable, mais dans lequel il ne faudrait pas se complaire. Par contre, savourer son passé dans un sandwich aux tomates fraîchement cueillies, ça n'a jamais fait de mal.
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52 semaines à deux,
des histoires de famille,
photo
09 septembre 2011
Les portes
Le soir où Irène a frappé sur la côté américaine, Julie n'a pas pû mettre ses photos sur le net. Du coup, j'ai oublié de faire mon message ici, puisque je l'attendais.
J'ai mis la photo de Julie sur mon fond d'écran au travail. Il est parfait.
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52 semaines à deux,
il faut bien travailler,
photo
07 septembre 2011
Trois petites notes
La PtiteMiss chante. Elle chante souvent les trois mêmes petites notes de musiques. Ta-da-daa, qui sonnent un peu comme les annonces dans le métro. Elle chante ces trois petites notes depuis déjà longtemps.
La PtiteMiss a déjà une chanson bien à elle.
La PtiteMiss a déjà une chanson bien à elle.
05 septembre 2011
Conte de fée
Ma Mamoizelle croit encore au contes de fées. Je pense que toutes les enfants, à un moment ou à un autre, vivent dans les contes de fées et que ceux-ci sont aussi réels que leur quotidien. J'adore parler des fées et autres diablotins avec ma fille.
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52 semaines à deux,
MissA,
photo
01 septembre 2011
en vélo
Toujours dans cette fameuse liste (il faut croire que je me mets à jour), il y avait comme objectif d'aller en vélo au travail au moins une fois. Il y avait tout de même 14 km entre les deux quand j'ai fait ce projet. Maintenant, il n'y en a plus que 9. Il y a une côte de moins à affronter et une île que je n'ai plus à traverser. Mais reste encore le pont Jacques-Cartier - avec ses côtes, son trafic, ses vents et ma tendance au vertige.
Je l'ai fait quelques fois déjà, et je compte bien le refaire. Parce qu'une fois le pont passé, c'est très agréable. Et sur le pont, si je ne pose pas le pied par terre, donc si je ne sens pas les vibrations de la structure, ça va, je n'ai pas trop le vertige. Je vais donc le refaire, compensant les 5 km qui ont disparu par le nombre de trajets. Si je ne le fais pas tous les jours, c'est pour des raisons qui oscillent entre la paresse, la fatigue, l'envie de lire dans le métro et le manque d'envie d'affronter les éléments.
Par contre, au moment où j'écris ces lignes, il pleut des cordes. Et mon vélo est attaché dehors. Pas l'idéal.
Je l'ai fait quelques fois déjà, et je compte bien le refaire. Parce qu'une fois le pont passé, c'est très agréable. Et sur le pont, si je ne pose pas le pied par terre, donc si je ne sens pas les vibrations de la structure, ça va, je n'ai pas trop le vertige. Je vais donc le refaire, compensant les 5 km qui ont disparu par le nombre de trajets. Si je ne le fais pas tous les jours, c'est pour des raisons qui oscillent entre la paresse, la fatigue, l'envie de lire dans le métro et le manque d'envie d'affronter les éléments.
Par contre, au moment où j'écris ces lignes, il pleut des cordes. Et mon vélo est attaché dehors. Pas l'idéal.
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